congé maladie ordinaire, congé longue maladie
Posté : dim. 30 sept. 2012 18:10
Bonsoir,
Je suis enseignante au ministère de l'agriculture (enseignement public), àgée de 53 ans, et je suis un peu perdue depuis mardi.
Je suis en arrêt de travail depuis le 6 septembre 2012 et j'ai eu pas mal d'arrêts de travail durant l'année scolaire 2011-2012. Je suis en demi-solde complétée en grande partie par la mutuelle
J'ai reçu, le 15 septembre, un appel d'un médecin généraliste de ville qui m'a dit être mandaté par le ministère pour m'examiner. Mardi, lorsque je suis arrivée chez ce médecin, il m’a demandé pourquoi je ne pouvais plus travailler et m'a dit qu’il faudrait que je reprenne. il avait devant lui un courrier du ministère, je pense, que je ne pouvais pas lire. Ce courrier stipulait que je ne voulais pas travailler depuis 2008 et que je n'avais quasiment pas travaillé depuis cette date ce qui est faux. Effectivement la maladie s'est déclarée en 2007 et je n'ai pas pris d'arrêt maladie immédiatement (une bêtise).
J’ai précisé que j’avais travaillé durant cette période et je me suis mise un peu colère précisant que j’en avais marre de ce harcèlement depuis que j’étais malade.....Il a donc un peu changé de ton.
Il avait une reconnaissance de travailleur handicapé valable jusqu’en 2011. Je lui ai fourni celle valable jusqu’en 2017 ainsi que le taux d’incapacité et la carte prioritaire. Il a semblé un peu surpris.
Ensuite m’a dit que je ne prenais que du Paracétamol (d’où venait cette information ?) que c’était bizarre cette intolérance aux médicaments, qu’il fallait insister et qu’il y avait des traitements pour cette maladie. Je lui ai finalement dit que c’était le médecin du centre antidouleur qui gérait mon traitement et pas moi.
Je lui ai dit avoir vu le Pr X. Il m’a dit ne pas avoir de trace de cette visite. Je lui ai donné un courrier du Professeur. Il a récusé le diagnostic du professeur.
Il a nié toute pathologie, en fait dans mon cas toutes les pathologies
Il m'a conseillé d'aller voir un psychiatre
En conclusion, il ne m'a pas questionné sur ce dont je souffrais ni sur le traitement que j'avais. Il s'est simplement appuyé sur le dossier qu'il avait sous les yeux.
Plusieurs questions : pourquoi n'ai-je pas eu de convocation écrite. D'où venaient les documents médicaux en sa possession ? S'agit-il d'une expertise ou d'une visite pour me faire peur ? Par qui est-il mandaté le ministère ou le lycée ? Comment faire pour obtenir ces documents et le rapport de ce médecin ?
Finalement, il m’a dit que j’avais le choix entre la reprise et la longue maladie. J’ai dit que je n’avais donc pas le choix. Il doit faire son rapport dans ce sens. J'ai demandé "longue maladie" alors que je n'ai pas épuisé mes droits en CMO.
Un grand merci à vous si vous pouvez m'aider.
Je suis enseignante au ministère de l'agriculture (enseignement public), àgée de 53 ans, et je suis un peu perdue depuis mardi.
Je suis en arrêt de travail depuis le 6 septembre 2012 et j'ai eu pas mal d'arrêts de travail durant l'année scolaire 2011-2012. Je suis en demi-solde complétée en grande partie par la mutuelle
J'ai reçu, le 15 septembre, un appel d'un médecin généraliste de ville qui m'a dit être mandaté par le ministère pour m'examiner. Mardi, lorsque je suis arrivée chez ce médecin, il m’a demandé pourquoi je ne pouvais plus travailler et m'a dit qu’il faudrait que je reprenne. il avait devant lui un courrier du ministère, je pense, que je ne pouvais pas lire. Ce courrier stipulait que je ne voulais pas travailler depuis 2008 et que je n'avais quasiment pas travaillé depuis cette date ce qui est faux. Effectivement la maladie s'est déclarée en 2007 et je n'ai pas pris d'arrêt maladie immédiatement (une bêtise).
J’ai précisé que j’avais travaillé durant cette période et je me suis mise un peu colère précisant que j’en avais marre de ce harcèlement depuis que j’étais malade.....Il a donc un peu changé de ton.
Il avait une reconnaissance de travailleur handicapé valable jusqu’en 2011. Je lui ai fourni celle valable jusqu’en 2017 ainsi que le taux d’incapacité et la carte prioritaire. Il a semblé un peu surpris.
Ensuite m’a dit que je ne prenais que du Paracétamol (d’où venait cette information ?) que c’était bizarre cette intolérance aux médicaments, qu’il fallait insister et qu’il y avait des traitements pour cette maladie. Je lui ai finalement dit que c’était le médecin du centre antidouleur qui gérait mon traitement et pas moi.
Je lui ai dit avoir vu le Pr X. Il m’a dit ne pas avoir de trace de cette visite. Je lui ai donné un courrier du Professeur. Il a récusé le diagnostic du professeur.
Il a nié toute pathologie, en fait dans mon cas toutes les pathologies
Il m'a conseillé d'aller voir un psychiatre
En conclusion, il ne m'a pas questionné sur ce dont je souffrais ni sur le traitement que j'avais. Il s'est simplement appuyé sur le dossier qu'il avait sous les yeux.
Plusieurs questions : pourquoi n'ai-je pas eu de convocation écrite. D'où venaient les documents médicaux en sa possession ? S'agit-il d'une expertise ou d'une visite pour me faire peur ? Par qui est-il mandaté le ministère ou le lycée ? Comment faire pour obtenir ces documents et le rapport de ce médecin ?
Finalement, il m’a dit que j’avais le choix entre la reprise et la longue maladie. J’ai dit que je n’avais donc pas le choix. Il doit faire son rapport dans ce sens. J'ai demandé "longue maladie" alors que je n'ai pas épuisé mes droits en CMO.
Un grand merci à vous si vous pouvez m'aider.