Bonsoir et meilleurs voeux 2012 à tous avec une bonne santé...
Je reviens vers vous pour me confirmer mon"parcours santé" d'aprés vos réponses et mes recherches. Enseignant EPS développant la maladie de PARKINSON depuis 5 ans et arrivant au bout de ce que je puisse faire, voilà ce qui m'attends : arrêt de maladie congé ordinaire 3 mois à plein traitement, puis en congé longue maladie pendant 3 ans si reconnu par la commission départementale, plein traitement pendant un an et 2 ans à 1/2 traitement complété par la prévoyance jusqu'à hauteur de 92 %...du salaire net. Puis si déclaré en invalidité, RETREP (ou mis en retraite anticipé ce qui coûterait moins cher à l'assurance maladie ?) avec les mêmes conditions financiéres. Au moment du passage légal à la retraite, perte sèche financière due aux non cotisations pendant l'arrêt maladie et le RETREP. Tout cela si tout s'articule correctement dans les démarches. J'ai oublié quelque chose ? Mes questions.
Qui nous paye pendant la 1ère année. Le trésor public ou l'assurance maladie ? Cotise t on aux régimes de retraite (Général + complémentaire) pendant cette période, cela ferait gagner une année de cotisation ? Peut on cotiser volontairement au regime général et complémentaire pendant cette période ? L'indemnité de résidence reste t elle versée jusqu'à la retraite contrairement aux ISO.
Vous voyez que j'ai encore quelques lacunes.
Bonne soirée et merci de votre temps passé à nous répondre
M.RINGENBACH
Parcours de l'enseignant en futur arrêt de maladie
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RINGENBACH
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Re: Parcours de l'enseignant en futur arrêt de maladie
Parcours de l'enseignant en futur arrêt de maladie
Message non lupar RINGENBACH » Ven 13 Jan 2012 21:44
Bonsoir et meilleurs voeux 2012 à tous avec une bonne santé...
Je reviens vers vous pour me confirmer mon"parcours santé" d'aprés vos réponses et mes recherches. Enseignant EPS développant la maladie de PARKINSON depuis 5 ans et arrivant au bout de ce que je puisse faire, voilà ce qui m'attends : arrêt de maladie congé ordinaire 3 mois à plein traitement, puis en congé longue maladie pendant 3 ans si reconnu par la commission départementale, plein traitement pendant un an et 2 ans à 1/2 traitement complété par la prévoyance jusqu'à hauteur de 92 %...du salaire net. Puis si déclaré en invalidité, RETREP (ou mis en retraite anticipé ce qui coûterait moins cher à l'assurance maladie ?) avec les mêmes conditions financiéres.
Vous ne dépendez pas de l'assurance maladie c'est à dire de la SECU mais du régime social des fonctionnaires. C'est la raison pour laquelle, si vous êtes mis en retraite anticipée pour invalidité, c'est le RETREP (en fait l'Etat) qui prend en charge le versement de l'allocation d'invalidité.
Au moment du passage légal à la retraite, perte sèche financière due aux non cotisations pendant l'arrêt maladie et le RETREP. Tout cela si tout s'articule correctement dans les démarches.
La perte est principalement au niveau de la retraite de base puisque le calcul du salaire annuel moyen se fait à partir des 25 meilleures années. Il est certain qu'une personne qui reste en activité jusqu'à sa retraite voit son salaire annuel moyen s'améliorer car les dernières années étant les meilleures chassent les plus mauvaises. Ce qu'il faut bien savoir c'est que vous n'êtes pas lésé au niveau de la validation des trimestres. La SECU validera les trimestres en invalidité. Par ailleurs, des points gratuits seront attribués par les régimes complémentaires pour cette période; la perte est donc minime au niveau de la retraite complémentaire.
J'ai oublié quelque chose ? Mes questions.
Qui nous paye pendant la 1ère année. Le trésor public ou l'assurance maladie ?
Durant la période en longue maladie, c'est l'Etat qui continue à vous verser votre salaire (à plein traitement pendant 1 an puis à 1/2 traitement les deux années suivantes).
En invalidité, c'est le RETREP qui vous verse une allocation d'invalidité calculée comme une retraite en fonction des droits acquis dans l'enseignement privé; le complément étant versé par la Prévoyance à hauteur de 92 % du salaire net.
Cotise t on aux régimes de retraite (Général + complémentaire) pendant cette période, cela ferait gagner une année de cotisation ? Peut on cotiser volontairement au regime général et complémentaire pendant cette période ? L'indemnité de résidence reste t elle versée jusqu'à la retraite contrairement aux ISO.
En invalidité, vous ne cotisez pas aux régimes complémentaires, mais des points gratuits sont attribués au moment du passage au régime général. Ces points sont calculés en fonction des points attribués l'année qui précède votre mise en invalidité.
Vous voyez que j'ai encore quelques lacunes.
Bonne soirée et merci de votre temps passé à nous répondre
M.RINGENBACH
Message non lupar RINGENBACH » Ven 13 Jan 2012 21:44
Bonsoir et meilleurs voeux 2012 à tous avec une bonne santé...
Je reviens vers vous pour me confirmer mon"parcours santé" d'aprés vos réponses et mes recherches. Enseignant EPS développant la maladie de PARKINSON depuis 5 ans et arrivant au bout de ce que je puisse faire, voilà ce qui m'attends : arrêt de maladie congé ordinaire 3 mois à plein traitement, puis en congé longue maladie pendant 3 ans si reconnu par la commission départementale, plein traitement pendant un an et 2 ans à 1/2 traitement complété par la prévoyance jusqu'à hauteur de 92 %...du salaire net. Puis si déclaré en invalidité, RETREP (ou mis en retraite anticipé ce qui coûterait moins cher à l'assurance maladie ?) avec les mêmes conditions financiéres.
Vous ne dépendez pas de l'assurance maladie c'est à dire de la SECU mais du régime social des fonctionnaires. C'est la raison pour laquelle, si vous êtes mis en retraite anticipée pour invalidité, c'est le RETREP (en fait l'Etat) qui prend en charge le versement de l'allocation d'invalidité.
Au moment du passage légal à la retraite, perte sèche financière due aux non cotisations pendant l'arrêt maladie et le RETREP. Tout cela si tout s'articule correctement dans les démarches.
La perte est principalement au niveau de la retraite de base puisque le calcul du salaire annuel moyen se fait à partir des 25 meilleures années. Il est certain qu'une personne qui reste en activité jusqu'à sa retraite voit son salaire annuel moyen s'améliorer car les dernières années étant les meilleures chassent les plus mauvaises. Ce qu'il faut bien savoir c'est que vous n'êtes pas lésé au niveau de la validation des trimestres. La SECU validera les trimestres en invalidité. Par ailleurs, des points gratuits seront attribués par les régimes complémentaires pour cette période; la perte est donc minime au niveau de la retraite complémentaire.
J'ai oublié quelque chose ? Mes questions.
Qui nous paye pendant la 1ère année. Le trésor public ou l'assurance maladie ?
Durant la période en longue maladie, c'est l'Etat qui continue à vous verser votre salaire (à plein traitement pendant 1 an puis à 1/2 traitement les deux années suivantes).
En invalidité, c'est le RETREP qui vous verse une allocation d'invalidité calculée comme une retraite en fonction des droits acquis dans l'enseignement privé; le complément étant versé par la Prévoyance à hauteur de 92 % du salaire net.
Cotise t on aux régimes de retraite (Général + complémentaire) pendant cette période, cela ferait gagner une année de cotisation ? Peut on cotiser volontairement au regime général et complémentaire pendant cette période ? L'indemnité de résidence reste t elle versée jusqu'à la retraite contrairement aux ISO.
En invalidité, vous ne cotisez pas aux régimes complémentaires, mais des points gratuits sont attribués au moment du passage au régime général. Ces points sont calculés en fonction des points attribués l'année qui précède votre mise en invalidité.
Vous voyez que j'ai encore quelques lacunes.
Bonne soirée et merci de votre temps passé à nous répondre
M.RINGENBACH
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RINGENBACH
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Re: Parcours de l'enseignant en futur arrêt de maladie
Merci pour ces précisions supplémentaires. Mais cotise-t-on au régime général pendant la 1 ère année de maladie du fait du plein traitement ?
Re: Parcours de l'enseignant en futur arrêt de maladie
En matière de retraite vous dépendez du Régime général et des régimes complémentaires. Vous cotisez même si vous êtes en arrêt de travail (plein traitement ou 1/2 traitement).
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