IDR pourquoi j'ai saisi les prud'hommes ?....
Posté : mar. 10 juin 2008 12:21
bonjour
j'ai engagé une procédure au conseil des prud'hommes de bordeaux.
Je suis en retraite depuis le 31/12/2007.
L'attitude de la direction et du CA de l'ISNAB m'ont conduit à cette solution QUI ME NAVRE ET ME CHOQUE.
La somme est relativement faible et il y a des cas plus lourds de contentieux sociaux.
Mais pendant six mois aucune proposition d'entretien ni même d'accord amiable pour une simple avance
ne m'ont été proposés.
Pour ma part j'avais dailleurs gentiment et naîvement demandé ce qui était prévu soit 60%;
la gestion humaine de ce dossier est tout simplement inexistante pour ne pas la qualifier
autrement. J'ai considéré cela comme à la fois inélégant et un manque de reconnaisance
après 17 années .
Pour illustrer mon propos j'ai reçu une lettre de remerciements et de félicitations du ministère, certes
administrative restons modeste !!!.............., mais rien de l'établissement.
Quoi qu'il en soit une audience de conciliation a eu lieu le 6/06/2008 ( la saisine a été déposé le 15/04/2008 )
a noter là encore l'absence des responsables de l'école et leur avocat ( boite postale selon ses propres dires ) a opposé un refus de conciliation de principe au motif que la convention était annulée par le jugement de la cour d'appel de paris
C e qui à mon sens est FAUX en effet ce sont les dispositions de la loi censi sur la dégressivité de l'IDR qui ont été jugées
contraires et
- soit on revient à la convention initiale
- soit on applique le code du travail ( 1 mois après 15 ans jusqu'à 2 mois après 30 ans )
Il ne peut pas y avoir de vide juridique et les dispositions d'un nouvel accord, si nouvel accord il y a, ne pourraient pas être rétroactives et encore moins identiques aux précédentes puisque jugées ..............
donc ceux qui partent depuis le 15/09/2007 sont pénalisés par l'attitude du CNEAP dans cette affaire qui demande aux établissements de bloquer les paiements.
Plusieurs questions se posent :
L'IDR fait partie du salaire, elle est exigible au départ du salarié. Dès lors pourquoi n'est-elle pas inscrite
dans la compta des établissements ? et pourquoi cette dette n'est pas reconnue par un document officiel ?
Dans quels délais le problème sera t-il résolu ? les propos du cneap sont trés évasifs et pas convaincants sur leur désir de faire accélerer le dossier " pensez donc cher monsieur ce n'est vraiment une priorité ... ce qui se conçoit mais bon .....
Que se passe t-il en cas du décés du retraité ? Hélas l'espérance de vie n'est pas toujours égale aux statistiques du
gouvernement sur l'allongement de la vie !!!..................
Quid des intérêts de cette dette exigible au départ je le rappelle .
Enfin en cas de liquidation ou de fusion que devient cette dette ?....
Prochaine audience le 21/10/2008
je suis preneur de toutes infos ou conseils, je n'ai pas pris d'avocat.
Pour terminer je vous laisse relire et méditer la parabole de St mathieu sur "le maitre de la vigne "à bientôt
j'ai engagé une procédure au conseil des prud'hommes de bordeaux.
Je suis en retraite depuis le 31/12/2007.
L'attitude de la direction et du CA de l'ISNAB m'ont conduit à cette solution QUI ME NAVRE ET ME CHOQUE.
La somme est relativement faible et il y a des cas plus lourds de contentieux sociaux.
Mais pendant six mois aucune proposition d'entretien ni même d'accord amiable pour une simple avance
ne m'ont été proposés.
Pour ma part j'avais dailleurs gentiment et naîvement demandé ce qui était prévu soit 60%;
la gestion humaine de ce dossier est tout simplement inexistante pour ne pas la qualifier
autrement. J'ai considéré cela comme à la fois inélégant et un manque de reconnaisance
après 17 années .
Pour illustrer mon propos j'ai reçu une lettre de remerciements et de félicitations du ministère, certes
administrative restons modeste !!!.............., mais rien de l'établissement.
Quoi qu'il en soit une audience de conciliation a eu lieu le 6/06/2008 ( la saisine a été déposé le 15/04/2008 )
a noter là encore l'absence des responsables de l'école et leur avocat ( boite postale selon ses propres dires ) a opposé un refus de conciliation de principe au motif que la convention était annulée par le jugement de la cour d'appel de paris
C e qui à mon sens est FAUX en effet ce sont les dispositions de la loi censi sur la dégressivité de l'IDR qui ont été jugées
contraires et
- soit on revient à la convention initiale
- soit on applique le code du travail ( 1 mois après 15 ans jusqu'à 2 mois après 30 ans )
Il ne peut pas y avoir de vide juridique et les dispositions d'un nouvel accord, si nouvel accord il y a, ne pourraient pas être rétroactives et encore moins identiques aux précédentes puisque jugées ..............
donc ceux qui partent depuis le 15/09/2007 sont pénalisés par l'attitude du CNEAP dans cette affaire qui demande aux établissements de bloquer les paiements.
Plusieurs questions se posent :
L'IDR fait partie du salaire, elle est exigible au départ du salarié. Dès lors pourquoi n'est-elle pas inscrite
dans la compta des établissements ? et pourquoi cette dette n'est pas reconnue par un document officiel ?
Dans quels délais le problème sera t-il résolu ? les propos du cneap sont trés évasifs et pas convaincants sur leur désir de faire accélerer le dossier " pensez donc cher monsieur ce n'est vraiment une priorité ... ce qui se conçoit mais bon .....
Que se passe t-il en cas du décés du retraité ? Hélas l'espérance de vie n'est pas toujours égale aux statistiques du
gouvernement sur l'allongement de la vie !!!..................
Quid des intérêts de cette dette exigible au départ je le rappelle .
Enfin en cas de liquidation ou de fusion que devient cette dette ?....
Prochaine audience le 21/10/2008
je suis preneur de toutes infos ou conseils, je n'ai pas pris d'avocat.
Pour terminer je vous laisse relire et méditer la parabole de St mathieu sur "le maitre de la vigne "à bientôt