Invalidité partielle

[lambre]

Bonjour
Je suis enseignante dans un collège-lycée privé sous contrat. En 2002,à 34 ans, j'ai eu une rupture d'anévrisme cérébral. J'ai bénéficié d'un congé longue maladie puis d'un mi-temps thérapeutique. J'ai épuisé tous mes droits. Depuis 2005, j'ai repris à temps complet aprés avoir réfusé un mi-temps en invalidité de 1ère catégorie de la sécu. Je jongle entre les arrêts maladies et le boulot mais cela devient de plus en plus difficile. Les médecins me demandent de réduire mon temps de travail.
Le rectorat me réponds que si je ne peux plus travailler à temps complet, je prends un 3/4 temps ou 1/2 temps payé en conséquence.
Seule avec des enfants en enseignement supérieur, je cherche une solution qui me permettait de travailler à 3/4 temps ou à 1/2 temps avec un complément de salaire.
Est-ce possible? A qui s'adresser?
Merci beaucoup

[Bernard]

Invalidité partielle

Nouveau messagede lambre » Mar 30 Mar 2010 22:02
Bonjour
Je suis enseignante dans un collège-lycée privé sous contrat. En 2002,à 34 ans, j'ai eu une rupture d'anévrisme cérébral. J'ai bénéficié d'un congé longue maladie puis d'un mi-temps thérapeutique. J'ai épuisé tous mes droits. Depuis 2005, j'ai repris à temps complet aprés avoir réfusé un mi-temps en invalidité de 1ère catégorie de la sécu. Je jongle entre les arrêts maladies et le boulot mais cela devient de plus en plus difficile. Les médecins me demandent de réduire mon temps de travail.
Le rectorat me réponds que si je ne peux plus travailler à temps complet, je prends un 3/4 temps ou 1/2 temps payé en conséquence.
Seule avec des enfants en enseignement supérieur, je cherche une solution qui me permettait de travailler à 3/4 temps ou à 1/2 temps avec un complément de salaire.
Est-ce possible? A qui s'adresser?
Merci beaucoup

L'option proposée par la SECU : invalidité 1ère catégorie avec possibilité de travailler à temps partiel était une bonne formule parfaitement adaptée à votre pathologie et sans indice au plan financier. En effet, la SECU vous aurait versé une pension d'invalidité correspondant à 30 % du salaire calculé sur les 10 meilleures années qui vous aurait permis de travailler par exemple à 1/2 temps. La Prévoyance aurait complété à hauteur de 100 % de votre dernier salaire net.

Quelle solution avez-vous aujourd'hui pour conserver vos revenus tout en réduisant votre temps de travail ? Je n'ai hélas pas de réponse toute faite.
- A voir avec le Rectorat s'il vous est possible d'obtenir un temps partiel pour raisons de santé, la Prévoyance viendrait alors compléter à hauteur de 92 % du salaire net.
- En cas de réponse négative, sollicitez auprès de la SECU la pension d'invalidité 1è catégorie que vous aviez refusée en 2005. Il n'est pas certain qu'elle vous soit attribuée aujourd'hui car vous ne dépendez plus de la SECU depuis la mise en place de la loi CENSI en 2005.

[lambre]

Bonjour
Merci pour votre réponse
La sécu n'est plus compétente depuis la loi censi. Je vais voir du côté du Rectorat. Quand vous parlez de pévoyance, s'agit-il du retrep?

[Bernard]

Re: Invalidité partielle

Nouveau messagede lambre » Mer 31 Mar 2010 18:21
Bonjour
Merci pour votre réponse
La sécu n'est plus compétente depuis la loi censi. Je vais voir du côté du Rectorat. Quand vous parlez de pévoyance, s'agit-il du retrep?

Je ne serai pas aussi catégorique que vous quand vous écrivez "La SECU n'est plus compétente depuis la loi CENSI". Si le fait générateur (le début de la maladie) est postérieur au 01/09/2005 c'est parfaitement exact mais si le fait générateur est antérieur au 01/09/2005 c'est différent.
Si vous aviez accepté la pension d'invalidité proposée à l'époque, elle vous serait toujours versée. C'est pour cela que je vous ai dit qu'en cas de refus du Rectorat, vous pourriez vous tourner vers la SECU. Ce n'est pas certain qu'elle vous prenne en charge mais cela vaudrait le coup d'essayer.
La Prévoyance est un organisme auquel les Etablissements cotisent pour une prise en charge des enseignants en arrêt maladie, invalidité décès. C'est l'Etablissement qui constitue le dossier.